Dans la chambre froide de La Gueule de Saturne, Vincence tente de se libérer des cordes qui l’attachent sur la table à découper à viande, mais c’est peine perdue. Ses yeux s’écarquillent de terreur en voyant le regard que Rodina lui lance. Un regard dément et perverti. Belle et douce Rodina. La femme aux cheveux noirs a tenté de la tuer, certes, mais elle l’aime. Elle l’aime tellement. Son amour.
« Rodina, écoute-moi, s’il te plait. Je… »
« Tais-toi, salope! »
Rodina la gifle et elle se sert d’un couteau, le même couteau avec lequel Vincence avait tenté de la tuer avec, pour transformer ses vêtements en lambeaux. La femme aux cheveux noirs crie alors qu’elle se retrouve nue.
« On fait moins la maligne, hein, sale pute! »
« Rodina, je t’aime… »
« TAIS-TOI! »
La femme rousse se concentre et une lueur bleutée se forme sur ses doigts. Elle les place sur la bouche de Vincence. Sa patronne pousse un cri étouffé alors que le froid engloutit et blesse ses lèvres. Rodina retire ses doigts et la lueur bleutée disparait.
« La prochaine fois, je te crève un œil, alors tais-toi! »
Vincence se tait. Elle sait très bien ce que son employé peut faire. Apparemment, Rodina aurait hérité de ses pouvoirs sur la glace de son arrière-arrière-grand-père. Rodina les avait toujours cachées au reste du monde, mais elle les a révélés à Vincence.
« Je te faisais confiance! » Dit-elle à sa patronne d’un ton venimeux avant d’entamer un long monologue. « Je pensais qu’il y avait quelque chose entre nous. J’étais prête à tourner la page… à oublier Marieanne… mais qu’ai-je trouvé dans cette pièce? Cette chambre froide où j’étais interdit d’y entrer? Marieanne! Sa tête congelée! Son corps, transformer en viande! Tu l’as tuée, Vincence, et t’as essayé de me tuer! Et tout cela pour quoi? Pour récupérer l’impossible? Réfléchis! Crois-tu vraiment que me manger avait te redonner le sens du goût? Crois-tu vraiment qu’essayer de me faire manger Marieanne avant de me tuer voulait dire ‘cuisiner avec amour’? Tu es plus intelligente que ça, Vincence, et pourtant tu l’as fait. Tu l’as tuée. Marieanne. Je l’aimais tellement. J’étais prête à mourir pour elle. Vincence. Tu penses m’aimer. Tu dis m’aimer. Eh bien, je te hais! JE TE HAIS ET TU VAS PAYER POUR CE QUE TU AS FAIT! »
Rodina se déshabille à nue et elle saute sur Vincence, écrasant son corps contre le sien.
« Rodina, ne fais pas ça! » La supplie sa patronne.
« Je t’avais dit de te taire, PUTAIN! »
La femme rousse crée un pic de glace et elle le rentre dans l’œil droit de la femme aux cheveux noirs, le crevant. Pendant que Vincence hurle à la mort, tout en se demandant comment sa belle Rodina, son amour, pouvait lui faire une chose pareil, Rodina rit aux éclats. Ensuite, la femme rousse retire le pic de glace, ce qui met du sang partout sur le visage de sa patronne, et elle la viole. Elle pince fortement ses mamelons avant de les tirer pour lui faire mal puis elle les embrasse, les liches. Rodina enfonce ses doigts dans la chatte de Vincence et la ravage jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ensuite, elle sort ses doigts et elle rentre son poing dans sa chatte. Vincence continue de hurler à la mort. Rodina, fatiguée de l’entendre crier, couvre sa bouche de glace, ce qui la fait taire. Pour en finir, la femme rousse retire son poing. Elle créer un amas de glace, qu’elle taille pour former un pénis. Sous l’œil terroriser de la femme aux cheveux noirs, Rodina enfonce ce pénis froid très profondément dans sa chatte.
« Je t’ai vengée, Marieanne. » Dit Rodina en se levant et en se rhabillant. « Quant à toi, salope, tu vas rester ici jusqu’à ce que mort s’ensuive. »
Vincence tente de bouger son corps, mais elle n’y arrive pas. Elle a bien trop mal et froid.
« Adieu, Vincence. » Dis Rodina tout en baissant la température de la chambre froide.
La femme rousse part en fermant et en verrouillant la porte derrière elle. Vincence va mourir lentement de froid avec son œil crevé et sa chatte remplie par le pénis de glace.